Invité | Sujet: bête féroce ou bien un saint (r) Sam 21 Mai - 1:32 |
| | RHEA HOOGEWERFF my friends don't walk, they run âge, dob : vingt-ans qu'elle affiche au compteur, mais ça fait déjà trop longtemps qu'elle est de ce monde. on fête son anniversaire le 14 juillet, et cette conne elle croit que les feux d'artifices dans le ciel français ne sont que pour elle et son frère. job : elle glande, carrément. elle dit qu'elle fait de l'art, qu'elle peint pour la beauté. elle s'en branle juste des couleurs, elle veut juste voir des femmes nues pour son plaisir visuel. lieu de naissance/origines elle est née sur le sol européen, à amsterdam, mais le sang antillais qui coule dans ses veines. pas étonnant de l'entendre pester sur vous dans un créole maîtrisé. famille papa néerlandais, l'accent du nord, grand et fort. y a maman aussi, maman qui vient des îles aux paradis perdus, des tropiques délicieux qui offrent à la sainte rhéa cet couleur hâlée. y a son frère, jezus, un p'tit con qu'elle aime bien et qu'elle supporte depuis sa naissance. parce que rhéa a besoin de ce con de jezus, sans lui, y a plus aucune signification de son existence. orientation sexuelle voilà le gros pêché que la catin s'empresse de dénigrer. elle ne fait pas partie des monstres de la nature, qu'elle gueule, elle n'est pas une infâme créature brûlant en enfer pour avoir oser pêché. les homosexuels, groupe et genre de personne à purifier selon elle, ses parents, l'église. et pourtant, la rage ne trompe pas, les regards ne trompent pas. tout brûle en elle pour les jolies demoiselles. cœur le coeur inexistant. elle se dit aimer dieu, prier, jour et nuit pour qu'on répare les années envolées sur son visage marquée. il est mort quand le boum a frappé, quand son poing s'est écrasé. il est mort depuis que t'es pd.argent ($$$$) elle est assez riche pour se rouler dans le fric la gamine. caractère déterminée, nerveuse, manipulatrice, loyale, brisée, manque de confiance, tentatrice, sociable, rancunière, artiste. loisirs autre que regarder son reflet dans le miroir, la môme aime peindre. vulgaire artiste qui se croit intelligente. elle est danseuse la gamine, petit rat de l'opéra, misérable ballerine qui sait écarter les cuisses avec grâce. un péché capital l'envie, parce qu'elle s'interdit tous les plaisirs de la vie. elle jalouse son frère d'être aussi libre alors qu'elle ne le peut, interdiction étrange que la gamine s'offre. elle en veut à son père de ne voir qu'en elle une jolie danseuse, à maman de la rendre aussi catholique et invisible. elle en veut à sora, sora qui est sa putain, son rêve, son coeur. elle en veut au monde, elle les jalouse tous parce qu'ils ont réussis à sortir de la prison, appris à respirer normalement, pas comme elle. rêve le plus fou aimer, comme elle peut vivre. s'aimer comme elle ne peut réellement s'aimer, apprendre à être elle-même et pas un simple déchet de la société que l'on jette. qu'on l'aime vraiment pour ce qu'elle est et pas ce qu'elle donne l'impression d'être. playlist du moment gasoline et control d'halsey, elle s'identifie aux mots de la putain alors qu'elle récite les prières. dernier sms envoyé "que dieu vous protège mon père." à son curé qu'elle voit comme un exorciste de son homosexualité. dernier achat de la nourriture, pas pour elle, mais pour les pauvres. faut dire qu'elle a une petite âme charitable et qu'elle pense laver ses pêchés de cette manière. la personne qu'il aime le plus y a elle et son monde. tout qui tourne autour d'un dieu qui n'a jamais daigné lui répondre, l'accablant de cette horreur monstrueuse qu'elle est. puis y a jezus, son frère, qui malheureusement elle aime fort. puis y a sora, et là ça explose, ça fait mal. non elle aime pas sora. la personne qu'il déteste le plus son visage crie sora, son regard crie sora, son âme crie sora, y a juste ses putains de lippes qui veulent pas prononcer son nom, parce qu'elle ne peut pas détester la créatrice de ses rêves, le marchand de sable. celle qu'elle déteste, c'est elle-même. un regret les coups qui claquent, la douleur qui se brise. elle aurait aimé retenir ce rire, elle aurait retenir sa haine, ses cries. elle aurait aimée aimer. souvenir inoubliable encore et toujours, la gueule en sang et la voix de sora qui répète qu'elle aime les femmes. et on l'applaudit parce qu'elle est libre, parce qu'elle peut vivre, et pas elle. groupe castle, trop fouine et ambitieuse pour respirer normalement. crédits BALACLAVA |
and in this dream there is a killer i solemnly swear that i am up to no good c'est l'autoroute de la vie, le boum dans le coeur, le soleil le jour. y a des mots qui grisent, des mots qui chagrinent. y a la peur au ventre, l'amour qui anime, et ça tue, tue, déglingue. la flèche qui touche le corps, la balle qui pénètre la peau, l'amour ça rentre en toi et ça te démolis. t'étais pas faites pour aimer. t'as jamais été faites pour aimer. t'as jamais été capable d'aimer autre que ta propre personne. ton coeur bat pour le flux sanguin, mais dans le fond y a qu'une putain de circulation sanguine. on aimerait te planter, lame dans la jugulaire. te faire taire et te détruire, toi, l'infâme calomnie. t'as cru que t'étais grande et intelligente. t'as cru que le monde s'offrait à toi, mais t'es qu'une vulgaire chose qu'on s'amuse à bousiller. y avait ce cadeau du ciel, cette beauté éphémère qui revenait sans cesse habiter tes nuits, encore et encore. toujours son regard, son visage. les lèvres qui se touchaient pour ne faire qu'une, puis, rien. parce que t'es incapable d'embrasser, de baiser, t'es trop sainte pour ça. trop sec pour te faire enculer, trop belle pour te faire frapper. et pourtant, tu l'as brisé. t'aimais ça, connasse, que les pleures soient causés par toi, que tes larmes ne coulent pas. parce que tu te sentais puissante, tu te sentais forte. tu te croyais imbattable sur ton trône de pétasse, prête à briser les silhouettes qui voulaient ta fin. t'es devenue vipère puis fantôme, elle t'a écrasé et tu le méritais. elle t'a tué dès le premier regard, conduit ton âme en enfer. t'es devenue asmathique, besoin d'un souffle devant ce sourire. t'es devenue disgrâce auprès du ciel, auprès de toi. tu t'aimes plus, y a que le néant qui répète encore et que t'es poussière et que tu redeviendras poussière. ils ont dis que t'étais belle, un cadeau du ciel et t'y a cru. tu sais pas trop ce que tu fais là, à regarder son regard, à épouser ses formes semblables aux tiennes. il est pareil, il est juste né homme. il a juste le droit de les épouser elle, et pas toi. tu le hais. parce qu'il a le droit d'être imparfait, il a droit de sentir le clope et la pizza, il a le droit d'être ce qu'il est parce qu'on répète sans cesse. c'est jezus c'est jezus, ne cherche pas à comprendre, reprends tes ballets et ne te blasphème pas. on t'écorche à coup de gazoline, on te dit que t'es un feu, un soleil, t'es là que pour brûler. que seul dieu est ton vrai père et qu'il t'observe. dieu, tu pleures dans ses bras la nuit, lui demandant comment faire, comment agir. t'as cru que l'étouffer de connerie ça allait te faire oublier l'attraction. t'as cru que le salope de lesbienne il allait passer, s'envoler, ne pas la blesser ; tu l'as écorché, animé le brasier. ton visage de satin c'est envolé, passé du s au c, ça fait mal. catin reformé, le coeur emballé, t'as trop prié à te faire consommer. la beauté que tu avais est dorénavant inexistante, t'es morose, morte. t'es ce manque inutile, l'affection étrange, le brasier de minuit. et quand on pense t'aimer, ça te détruit. parce que personne ne pouvait t'aimer autant qu'elle. personne ne pouvait te faire réagir autant qu'elle, ange de minuit qui a brisé tes nuits. t'es devenue un souffle, un soupir, un baiser retenu, des mots qui eux, se glissent avec plaisir. tu l'as détruite pour mieux te construire. t'as pris son coeur enfantin, elle t'a pris ta splendeur imparfaite. t'es imparfaite, disloque, tu comprends pas pourquoi tu marches encore. peut-être que tu as trop pêché et que dieu te punit. tu sais plus vraiment si la croix que tu portes te bénis, où si elle n'est que prison à tes chimères. t'es une religieuse sans passion, une sainte pleines d'imperfections. t'as cru que t'étais pure, mais t'es aussi démoniaque qu'un borgia sur le trône de rome. enfant de la lune, fille de satan, tu t'es faites bénir à la vie par le besoin mortel de rester la poussière que tu es.
t'es pas jolie, quand on y pense. pas si parfaite, mais t'es pas imparfaite. t'as cru touché les étoiles puis nager dans le styx, mais reprends-toi. t'es juste une putain d'humaine. une putain d'homo. une putain. t'es un tout et un rien à la fois. MORGANE, AMORTENTIA, SEIZE, 93 MAGGLE BALACLAVA portrait chinois un smiley ? la question se pose pas malgré liza monnet, je reste une fidèle de ma souveraine kim k. une chanson ? ghost de halsey. un film ? stoker ou hp. un dessin animé ?olive et tom ptdrr. une couleur ? vert ou bleu. une odeur ? chocolat. un son ? un pet. un dernier mot, un big up ? | |
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