nom complet dasha carter, si tu veux faire comme tout le monde appelle moi Ash, et si t’es plus du genre à vouloir être unique, n’importe quel surnom feras l’affaire. âge 22 ans que je traine ma carcasse d’écureuil dans les ruelles. origines mes origines se répandent entre le québec et l’europe. ouais c’est ce que ça donne des parents qui se rencontrent durant un road trip. job j’accumule les jobs d’été et l’hiver je vis de ma musique. situation familiale deux frères avec qui je m’entend plutôt bien. situation amoureuse célibataire en attente d’un miracle. situation financière $$$$, le fric c’est pas ce qui manque. (cette partie définira alors également ton groupe) orientation sexuelle hétérosexuelle-curieuse. avatar zippora seven.

hiding tonight un. dasha elle est comme un poisson dans l’eau. Elle nage avec le courant de la vie sans vraiment savoir où cela va la diriger. Elle survit autant dans les eaux usées que dans l’eau douce sans jamais broncher. Que la marée soit haute ou qu’elle soit basse, il n’y pas de différence pour elle. Les hauts et les bas ne sont jamais assez forts pour la laisser abandonner. Elle trouvera toujours un moyen de reprendre son souffle même lorsqu’elle est dans les profondeurs.  La vie n’est rien de plus qu’un étendu d’eau qui la transporte peu à peu vers le bord de la mer,  dans le but de la laisser crever comme une baleine échouée. Elle suit la vague et tente du mieux qu’elle peut pour ne pas se prendre un iceberg. Ainsi va la vie qui va, les épreuves qu’elle traverse ne fait qu’un meilleur barracuda d’elle. deux. À 18 ans, alors que ses parents lui faisait assez confiance pour la laisser vivre une vie d’adulte, dasha, elle, a décidé d’abuser de leur argent pour acheter la meilleure dope de Vancouver. La meilleure dope qu’elle ne pouvait pas trouver ailleurs en Colombie-Britannique. La dope qui la transportait dans un monde trop beau pour être vrai. La dope qui l’accompagnait dans des road trips au Canada. La dope qui a fait fureur pendant un temps à Montréal, et qui lui permettait de faire un max de fric.  La dope, la dope et encore la dope. Au début, elle pensait contrôler la chose, elle pensait être capable de mentir à ses parents encore longtemps sur les raisons de ses absences en cours. Elle pensait que ne plus leur demander d’argent allait les aider à croire en elle, dasha elle vivait dans le luxe sans avoir à endurer l’humeur des clients au service-au-volant du Mcdo. Mais comme toute bonne chose, ce rêve a fini par la rattraper et devenir réalité ; tu ne peux pas faire partie du marché sans attirer l’attention des motards… et celle de tes parents. trois. Dasha elle a failli se laisser noyer une fois. C’était la première et fut la dernière fois qu’elle s’autorisait à ressentir des choses pareilles.  L’héroïne a eu raison d’elle un jour, à un tel point qu’elle ne se reconnaissait même plus. A un tel point, que même ses parents ne voulaient plus d’elle. Et ses frères... ils n’osaient même plus l’approcher, elle ne s’était jamais sentie aussi seule dans la vie. Tellement seule que même les algues ne poussaient plus autour d’elle, le soleil ne faisait plus briller ses écailles ; elle était devenue un poisson sans nageoires dans une baignoire vide d’eau. Elle n’avait plus aucune raison de nager, mais pourtant c’est cette même raison qui a fini par la sauver. quatre. Alors que l’argent s’accumulait plus que jamais dans ses poches, elle se rendait compte peu à peu qu’elle était en train de perdre tout ce qu’elle avait de plus cher ; sa famille. Sa véritable famille, pas celle que l’on nomme souvent comme étant ‘’un gang’’, cette fausse famille aux idéologies extrémistes et sans limite. Cette famille qui lui a fait connaître les meilleurs trips de drogue, cette famille qui étendait son marché de fausse pièces d’identité et de dope jusqu’au Québec. Oui c’est vrai, elle était considéré comme étant un membre officiel de cette famille, mais ce qui est encore plus vrai, c’est que ces gens-là, ils en avaient rien à foutre d’elle. Rien à foutre du fric qu’elle rapportait, rien à foutre des kilomètres qu’elle se tapait pour satisfaire les clients à l’extérieur de la ville. Eux, ce qu’ils voulaient, c’est son cul. Son joli petit cul qui bougeait sur le bar, devant leurs yeux, sur leurs cuisses. Tout ce qu’ils voulaient, c’est faire du fric sur son dos, alors qu’elle, la petite garce, elle pensait faire de l’argent facile. C’était tout le contraire, y’avait rien de plus difficile que se lever à 17h du soir après avoir passé deux jours de suite sur la coke. Y’avait rien de plus difficile que de vivre une vie de débauche, entre la vente et le striptease. c'était cette famille qui la rendait malheureuse, et pourant, ça lui a prit deux ans avant de s'en rendre véritablement compte une bonne fois pour toute. cinq. Ce n’est jamais facile de retourner sur le bon chemin, et c’est encore moins facile de réaliser qu’on a besoin d’aide. Dasha, elle, a vécu totalement le contraire. Elle a mit un temps à vouloir quitter ce monde en apparence parfait, mais le premier réflexe qu’elle a eu en quittant la bande, c’est d’aller chercher des moyens de se débarrasser de ses mauvaises habitudes. Lorsqu’elle s’est sentie prête à affronter sa dépendance, elle a eu l’impression qu’elle se remettait à nager à nouveau. Elle a senti que l’océan lui appartenait et que de nouveaux défis l’attendait de l’autre côté du iceberg. Elle a passé huit mois en désintox, avec le soutien de ses parents mais surtout de ses frères auprès de qui elle s’est rapprochée à nouveau. Lors de ses 20 ans, ils lui ont offert une guitare et lui ont fait voir qu’elle valait beaucoup plus qu’une revendeuse de drogue. Ils lui ont ouverts les yeux et c’est en partie grâce à eux si aujourd’hui elle vit de sa musique. Ils n’ont jamais cessé de croire en elle, même s’ils n’ont jamais accepté qu’elle fasse partie de cette bande stupide. Elle est très reconnaissante aujourd’hui et elle ne les remerciera jamais assez d’avoir éveillé un talent caché de chanteuse ce jour-là. six. elle a recommencé à zéro à partir de cette journée décisive. Elle n’a plus jamais retouché à la drogue, appart la marijuana qu’elle n’a jamais considéré comme une drogue de toute façon. Elle fume seulement qu’en soirée en raison de son manque de sommeil, ayant refusé d’avaler n’importe quel médicament sous forme de pilule ou de sirop. Dasha a le sommeil très léger et se réveille souvent en sursaut, au beau milieu de la nuit, sans pouvoir se rendormir. Son psychologue privé pense qu’elle paye pour les nuits qu’elle a ratées sous l’influence de la drogue, et que son système rencontre parfois des difficultés à s’adapter au manque. Mais Dasha sait clairement qu’elle a peur, peur de rechuter et de ne pas avoir la force de refuser une barre. Cela la hante le jour, la nuit, dans ses rêves, dans sa musique, dans sa bouffe, partout. Elle ne peut pas mettre un pied dehors qu’elle tombe sur un ancien copain. Elle doit assumer son choix en ignorant les insultes qu’ils lui lancent en la croisant au marché, ou dans le métro. Elle a peur qu’un jour, il lui manque tellement, qu’elle ne puisse pas résister à l’envie d’aller le retrouver, lui. Son premier vrai amour, aussi cauchemardesque qu’il puisse être. sept. le retour en classe ft la rencontre d'Uto huit. le succès du groupe ft son combat neuf. le nouvel emploi ft la découverte d'une passion dix. le présent ft le futur

pseudo pas de pseudo, j'suis une no name. prénom ça n'a pas changé non, toujours sans nom. âge l'âge du christ. ton smiley préféré   . la pizza, c'est bon ? la pizza c'est dangereux, n'en mangez pas j'vais le faire à votre place. la couleur de tes chaussettes j'ai pas de chaussette je suis dans un pyjama à pattes, y'a une tronche d'ourson qui recouvre mes pieds. ta chanson préférée j'en ai trop, mais vite comme ça je dirais Drive my soul, de Lights. scénario ? pré-lien d'Utopi, la garce. un big up, un dernier mot ? je sens que je vais me plaire ici, gros love sur vos gueules d'anges.

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<m>zippora seven</m>, dasha carter