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| | mes rêves ne me font plus bander |
| Invité | Sujet: mes rêves ne me font plus bander Sam 4 Juin - 13:19 |
| | ELIOTT DUNN rien ne peut m'arriver, j'ai le coeur ensommeillé âge, dob : vingt-trois coups de feu. ils éparpillent leurs heures jour après jour, égrènent leurs secondes avec éclat, et lui fait le décompte des années qui lui restent à (sur)vivre. les douze juin riment avec rien, nada, néant. pas d'anniversaire à souhaiter à Eliott, non. on ne fête pas ce qui nous tue. job : il vend ses boards en tirant la gueule, amsterdam poort. et derrière la façade se cache: le même visage, le même regard, il dégueule ses ordres et ses exigences à demi ton. il planque derrière les vitrines respectables les pilules de rêves, les herbes empoisonnées, les petits revendeurs qui courent les nuits et les rues pour lui remplir les poches. les boards, ça ne rapporte rien. lieu de naissance/origines putain, qu'est-ce qu'il s'en fout si vous saviez. et il en sait rien, il sait juste qu'il est là depuis aussi longtemps qu'il s'en souvienne. famille son ombre qui se détourne quand il rentre chez lui, le soir. les flammes du feu qu'il craque entre ses doigts pour passer le temps, qu'il voudrait bien voir dévorer ces murs et ces rues qu'il hait. orientation sexuelle lippes ourlées de carmin ensanglanté. cœur givré. peut-on aimer quand on est soi-même si peu aimable. et le visage de la gamine qui le tire un peu de l'ombre. argent (4/$$$$$) caractère malheureux pessimiste, sans attaches et sans but, il erre il subit il inflige, il s'impose et s'expose. Eliott méprise, il regarde de haut de loin très très loin, il observe en se prenant pour un petit dieu désabusé, il secoue la tête, il se désespère de trouver sa voie, son objectif, de savoir où va le mener cette vie remplie de vide. il a la langue acerbe et l'insulte facile, il possède avec avidité et fuit les attaches qu'on tente de ceindre autour de ses poignets ses chevilles son cou. il court le danger et l'adrénaline. c'est la seule drogue dure qu'il s'autorise : le sang et les larmes, l'extase vibrante qui s'empare de ses muscles aux premiers éclats de haine qui traversent la nuit, quand les chairs se meurent sous ses doigts. parfois il se demande s'il ressent vraiment, s'il vit vraiment; il se fait l'effet d'une enveloppe vide, les yeux secs et le coeur aride. un vrai désert. loisirs rêver de destruction, briser les rêves, rêver les réparations, flamber son coeur au contact des salopes aux lèvres pulpeuses, casser les gueules, serrer les poings, jouir dans leurs bouches, soupirer en attendant l'absolution - qui ne vient pas. un péché capital la colère. rêve le plus fou confondu. (il le retrouve plus) playlist du moment nas - get down / desiigner - panda / vald - bonjour / drake ft. the throne - pop style / kevin morby - harlem river / ainsi soit-il - louis chedid / lost - amine edge & dance / et toutes les merdes qui passent dans les enceintes de ce monde bruyant. dernier sms envoyé il manque toujours 500. dernier achat 200G de D, autant de weed, quatre sachets d'exta' et un pack de bières pour sa conso perso. la personne qu'il aime le plus personne, qu'il dirait. parce que ça a l'air vrai, il se sauverait même pas lui-même si il le devait. il admettrait pas que pour Saga il serait prêt à beaucoup, mais c'est le cas - sans doute. la personne qu'il déteste le plus Blanche Neige. un regret oui et non. il voudrait que l'issue ait été différente, mais il s'imagine mal modifier l'histoire (comment?). le sang de papa sur le carrelage blanc de la cuisine, les cris de maman qui se mêlent à ses larmes. il se souvient d'avoir pleuré, d'avoir vidé l'eau de son corps, la voir tomber au sol et se mêler au bain écarlate, par terre. ce sang poisseux qui coagulait d'une manière si jolie, si belle. ça tourbillonnait en rouge et noir, c'était frappant de délicatesse, quand tout autour n'était que chaos. souvenir inoubliable Eliott, il les compte les moments vrais de son existence. il y en a si peu qui l'ont fait vibrer. là : échapper à la taule en vendant l'âme de quelqu'un d'autre. chantage mené tambour battant, avec succès et dégoût pour lui-même. il y a le visage de l'autre qui revient le hanter, lui cracher sa haine au visage: trahison trahison trahison. groupe gasoline. crédits mok, nekfeu, b2o |
guettes mes rétines, mes cicatrices partie libre Y'a mes empreintes sur pas mal de ces murs Et mon ADN sur pas mal de ces culs
[Poche avant droite – lucky strike, bouts de carton, miettes de tabac, carte bancaire (hors du porteuf), paquet de chewing-gum, bracelets de soirée en lambeau.]
23:41 : -Tends la main. (Il est là avec qui, déjà ? Il sait plus.) Elle jette des regards nerveux autour d'elle, la bouche crispée, pincée, serrée. Malaise. Elle tend la main, une liasse de billets serrés entre ses doigts ouverts dans sa direction. Sans complexe, au vu et au su de tous, quelle conne. Un sifflement part entre ses dents ; foutue novice, biche égarée, éblouie par les phares des bagnoles. -Putain t'as peur de rien ; ses doigts à lui referment durement sa main à elle, et il échange l'oseille avec la came, il griffe sa paume sans faire exprès – elle grimace geint regarde ailleurs, s'enfuit prestement dans la foule. Elle disparaît, s'évanouit.
(02:10 : la moitié du stock est partie.)
04:20 : Tous les muscles de la gamine étirent la peau du visage dans une grimace évocatrice – la joie, le bonheur, une connerie dans ce goût là. Ça sonne faux, ce rire qui le fait serrer les dents, détourner le regard à la recherche d'un point d'ancrage. Rien. Juste cette mer de visages suintante et exaltée, mouvante et en perpétuel changement (et si immuable, pourtant). Les bras maigres s'accrochent à son cou, forcent une inclinaison malaisée et c'est penché vers l'avant, le regard plongeant dans ce décolleté offert comme une sucrerie en libre service, qu'il ressent la violence du rejet durement éprouvé. Elle le répugne, l'haleine alcoolisée, pupilles éclatées sur un firmament ouvert à elle seule. Tu t'es fait plaisir, t'as goûté et t'as aimé, ça se voit ça se sent on le sait, t'as la joie factice gravée sur la lippe, l'extase hallucinée des jeunes en manque de liberté. T'as aimé, c'est bien. T'en rachèteras. -J'habite pas loin, tu viens ? Elle meurtrit la pulpe de sa lèvre inférieure d'un coup de croc suggestif, la défonce placardée sur son visage comme une seconde peau. Il dit oui.
06:14 : Elles ont l'extase au bout de la langue, le plaisir offert gracieusement tapissé sur leurs lèvres. Il a tellement de mal à les aimer. Tant de peine à les considérer. Elles sont juste un visage, une bouche, un nez, deux yeux qu'il préfère ne pas voir, qu'il couvre d'une main en leur sifflant de la fermer quand elles ont le loisir de pouvoir crier. Eliott a le cœur givré figé carbonisé, il ne bat plus que quand le sang macule les phalanges, que quand il sillonne les rues dans le noir la nuit le froid, qu'il prend des risques qu'il ne trouve pas entre leurs cuisses. Elles sont toutes pareilles. Elles le lassent, le fatiguent, l'ennuient. Vidoirs sans identité. Une mèche de cheveux châtain colle au front de la fille. Elle a les yeux fermés, le souffle coupé, le derme rougi – ici, un hématome qui s'étale sur le velours de sa peau, qui prend la forme de son index à lui. Merde. Du regard il croit pouvoir effacer le vestige de sa haine-amour pour cette salope qui n'est qu'une enfant, une gosse perdue dans la cour des grands. Combien sont-ils dans son cas. Trop. Beaucoup trop. Elle tourne la tête, les cheveux se dégagent de son front et – – la lumière ou l'angle particulier du menton tendu de plaisir, il ne sait pas, le fait se reculer, empoigner sa gorge à pleine main et la forcer à le regarder. Il a le cœur en berne, la poitrine douloureuse, le regard haineux grand ouvert sur ce visage : il a cru, mais c'est pas elle, c'est pas elle, c'n'est jamais elle. -Dégage d'ici – il se dégage tout seul et il attend qu'elle en fasse autant, qu'elle le gracie de son absence. Il ne veut plus que ça, le silence le vide la solitude, pour l'aider à oublier que c'est la troisième fois qu'il croit l'espace d'une seconde baiser Saga.
[Poche avant gauche – bigo perso, papiers d'identité, billets froissés qui se mêlent aux pièces de monnaie.]
-Elle était comment, raconte. -... -Allez bébé, raconte. Et la prochaine fois j'serai de la partie, promis. -Ferme. -Tu sais que j'pourrais. Et j'sais que ça te gênerait même pas. (pas tant que ça) -... (elle a les yeux fermés, elle refuse d'écouter plus longtemps. Saga s'agace en silence.) -Alors, deal ? -(Soupir ; elle s'extrait du canapé et le force à quitter l'inconfort de ses petits genoux cagneux.) -Saga hé, ça va, ça vaut pas le coup de t'énerver pour ça putain reviens ! Y'a les jours avec et les jours sans. Les putasseries de Saga Bloem n'amusent personne aujourd'hui.
[Poches intérieures – bigo professionnel, clefs d'appartement + clefs de la boutique, emballages de bonbons vides, lunettes de soleil, porte-clef qui fait une lumière toute pourrie, briquet, couteau cranté.]
Les origines de la décadence perdues dans les limbes acrimonieuses qui obscurcissent son passé. Eliott a choisi d'oublier. Il a choisi le déni volontaire, il a tracé sa route sans savoir vers où il voulait se diriger. Il a fait chaque pas seul – personne l'a jamais aidé à foutre un pied devant l'autre, ni papa ni maman pour le guider. Eux aussi – eux qui ? Morts, disparus, inexistants, Eliott création de la sainte vierge et de nobody. Bouture inachevée arrachée aux entrailles d'une nymphe inconnue. (Sa mère est enfermée, dans sa tête ses folies ses idéaux, le visage collé aux barreaux qui lui ont été promis jusqu'à la fin de ses maudits jours. Fallait pas buter le padre, fallait pas céder aux pulsions meurtrières, ces mêmes pulsions qui ravivent les cellules, qui blessent les neurones et malmènent ses journées, ponctuent son quotidien de coups de sang et de coups de poings. La violence comme seconde identité, s'abrutir de douleur et de pouvoir, à la recherche de l'électrochoc qui donnera un sens à sa vie.) Eliott fils de personne, faux frère à l'amitié fragile, qui refile sa fausse confiance à ses gars ses clients ses jouets, une main mise sur son petit marché en expansion et l'autre serrée autour du manche du couteau.
La lame brille sous l'éclairage brut des lampadaires ; ils sont entourés d'eau, l'eau du ciel et l'eau de la mer. L'eau qu'il va voir couler de ses yeux meurtris d'ici peu de temps. Un coup de pied ; un son étouffé. Le bonhomme se relève une main sur le côté, l'oeil enflé. Il croit voir une lueur de haine briller au fond de son regard et ça ne lui plaît pas, à Eliott, il se demande combien de coups encore il va falloir donner pour obtenir l'infime signe de soumission qu'il recherche. Ils sont toujours trop fiers pour laisser passer leur reddition, mais Eliott a appris à la guetter dans leurs pupilles. Celui-là n'a pas encore compris. -T'as entendu connard ?? Quand tu vends pour moi tu consommes pas c'que je te donne, ou alors tu te l'achètes tout seul. Tu me dois trois cent boules. Essayer de se cacher pendant des semaines, éviter les appels, oublier de lui filer son putain de fric, ça marche pas avec lui.
Le métal contre les chairs, l'acéré contre le tendre, qui se teinte de sang, qui se teinte de mort. Y'a deux mains qui l'empoignent au col et qui l'éloignent (ils hurlent à ses oreilles) et en reculant, il sent le couteau partir avec lui, et le sang qui colle à ses paumes, et les crans de l'arme qui crochètent les entrailles du type en sortant de ce ventre mou. Le type, il s'effondre au sol, il glaviote de la salive et du sang en braillant des insanités qui se mêlent au bruit de son cœur battant à ses oreilles. Sous le ciel qui pleure, il y a ce mec les mains plaquées sur le ventre, il y a Eliott qui regarde la scène le souffle court. Il y a la folie qui règne sur ce bout de port plongé dans la nuit quand les témoins de la scène se mettent aussi à gueuler – t'es malade Eliott, t'as vu ce que t'as fait, pourquoi putain pourquoi – , et il se sent enfin en vie. Il a oublié comment le coup est parti, pourquoi il l'a sorti. Il se nourrit simplement de la conviction d'avoir une parcelle chaude et vivante bien planquée en lui. Il est en vie.
[Et toujours cette foutue casquette vissée sur la tête.] RAFI, BB, 21, CREPES/GALETTES JSP portrait chinois un smiley ? (mais qui est merlin?) une chanson ? pourquoi une seule? bon ok, salut c'est cool - simulateur de pêche un film ? a single man. un dessin animé ? martin mystère les gars, ramenez le parmi nous. une couleur ? noir. une odeur ? essence. un son ? euh, jsp??? un dernier mot, un big up ? OUAIS GRAF. j'pars mal dans le game mais ptn vous êtes beaux les bébés, jore +++ (je stalke en silence). | |
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| | | Houna Milkovich MESSAGES : 399 DATE DE NAISSANCE : 12/10/2000 NAME : léanna, kush coma. CRÉDITS : bah. JOB : cyber babe. COEUR : too sassy for u. i can get you high if you wanna climb | Sujet: Re: mes rêves ne me font plus bander Sam 4 Juin - 16:06 |
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| | | Invité | Sujet: Re: mes rêves ne me font plus bander Sam 4 Juin - 16:35 |
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| | | Invité | Sujet: Re: mes rêves ne me font plus bander Sam 4 Juin - 17:31 |
| elle se met ienb aussi Saga, j'avoue. cimer pour le rhum coco houna et t'inquiète, moi je partage. CC, MAIS JSPR BIEN OUAIS (hé t'es trop une princesse jtm aussi) |
| | | Sin Flores
or will blood run down the face
of a boy bewildered and scorned
and you'll find yourself in a skirmish
and you wish you'd never been born MESSAGES : 385 NAME : BALACLAVA (CHLOE) CRÉDITS : @QUEEN JOB : MAC, PROPRIO DU DRAKE'S COEUR : STONE mad sounds in your ears | Sujet: Re: mes rêves ne me font plus bander Sam 4 Juin - 20:59 |
| IHUIGBHJN DEUX NEKFEU MAIS WHAT QU'ON ÉCLAIRE MA LANTERNE SVP JE BANDAIS DÉJÀ AVANT IMAGINE LA
BIENVENUE QUOI CHOQUÉE
BSX BSX, T'ES BIEN DOUX |
| | | Stanislas Keynes MESSAGES : 61 NAME : marrypoper - léa CRÉDITS : merci à hollow bastion JOB : correcteur d'esprit moins tarés que le sien, psychologue sadique. COEUR : le coeur à gauche, mais des idées adroites. mad sounds in your ears | Sujet: Re: mes rêves ne me font plus bander Sam 4 Juin - 21:02 |
| faut arrêter d'être beau j'vais virer gay sinon |
| | | Invité | Sujet: Re: mes rêves ne me font plus bander Sam 4 Juin - 23:13 |
| ENCORE UN ?! MAIS IL A DU SUCCES CE PV PTN BIENVENUE CHATON hésite pas à sonner si tu veux qq chose |
| | | Invité | Sujet: Re: mes rêves ne me font plus bander Sam 4 Juin - 23:57 |
| HE MAIS WSH, si cess réservait vraiment quand elle le disait hein (jdec cess jtm pour toujours tu sais hein ) Sin t'es beau bb jte bave sur ton torse parfait Et Stan laisse toi tenter, tu sais pas ce que tu rates MERCI MERCI LES PETITS COCHONS-DINDES. JVM DEJA VOUS ETES SI BEAUX |
| | | Invité | Sujet: Re: mes rêves ne me font plus bander Lun 6 Juin - 9:59 |
| c'est un peu le bonheur de te relire |
| | | Invité | Sujet: Re: mes rêves ne me font plus bander Lun 6 Juin - 12:41 |
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| | | Cal McFly MESSAGES : 731 DATE DE NAISSANCE : 12/10/2000 NAME : léanna, kush coma. CRÉDITS : @cagoule(sorrynotsorrypouravoirmiscetavatarlà) JOB : kebabier au döner kebab. COEUR : je l'effleure de toutes mes forces, elle m'est fleur de toutes les siennes. mad sounds in your ears | Sujet: Re: mes rêves ne me font plus bander Lun 6 Juin - 17:58 |
| t'es validé(e) ! garde la pêche et bois de l'eau fraiche
cess a dit qu'elle voulait que j'te fasse un grand commentaire, donc rien que pour le plaisir j'vais juste d'écrire deux mots allez salut biz
wsh j'déconne, ta fiche était parfaite, vous m'faites déjà feelser vous deux quoi, ta plume est trop soft à lire, j'ai trop aimer, stp aime moi aussi un peu, elle est moche saga africa de toute facon allez, t'as déjà assez attendu comme ça, si c'est perf pour cess, ça l'est pour moi aussi (et team residence whanau rpz )bravo ! mais c'est que t'as fini la première étape p'tit chou, j'te félicite tu peux d'ores et déjà créer ta fiche de lien, parce que les relations, c'est cool. si tu le souhaites, tu peux également poster un ou plusieurs scénario(s) ainsi que des pré-liens. ensuite, si l'envie t'en prend, tu peux aller créer un beau p'tit téléphone pour ton perso. si t'as des idées pour améliorer le forum, des questions ou autres, je t'invite à aller dans la partie questions/suggestions. sinon, si t'as envie de t'amuser encore un peu plus, tu peux flooder autant que tu le veux. voilou, c'est tout ce que tu dois savoir pour l'instant. j'espère que tu te plairas ici (j'en ai aucun doute), et souviens-toi; chez nous, c'est la famille, on s'amuse sans de prise de tête sur ce, j'te fais la bise. |
| | | Invité | Sujet: Re: mes rêves ne me font plus bander Lun 6 Juin - 19:58 |
| charlie tout pareil si tu savais !!! Saga elle sent le fromton de toute façon je vais venir t'aimer aussi toi, tébelle tu sens le pâté frais et les cacahuètes grillées (et ouaiiiis graaave oh la la c'était bien tmtc ) cimer pour la validation darling |
| | | | Sujet: Re: mes rêves ne me font plus bander |
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| | | | mes rêves ne me font plus bander | |
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