nom complet Di Marco, un nom qu'il tient de son paternel, un homme absent et strict dont les origines sont italiennes. âge vingt et un ans, des bougies qu'il a soufflé il y a quelques mois maintenant, un certain 18 aout. origines sa mère est américaine, son père est né d'un père américain et d'une mère italienne. Il possède donc un quart de sang italien.  job il bénéficie de l'argent de papa alors qu'il étudie le marketing sans grande conviction. Ce qu'il aimerait, faire de la musique son gagne pain. situation familiale un frère, plus jeune que lui. Plus sage aussi sans doutes. Il n'a pas suivit le même chemin que son grand frère et prévoit déjà de suivre les traces du cher paternel. Milo s'entend très bien avec ce dernier. Un père qu'il redoute de part sa férocité. Un homme qui a toujours été exigeant avec ces fils. Un homme qui n'accepte aucun faux pas et qui le fait payer. Un homme qui n'a jamais été capable d'exprimer le moindre amour à ses enfants, ni même à sa femme d'ailleurs, bien plus jeune que lui. Et enfin une mère, ou plutôt une génitrice parce que très franchement, elle s'inquiète bien plus de son apparence physique et de ses galas de charité que l'éducation de ses deux fils. Une famille quelque peu dysfonctionnelle. Une famille où la richesse a pourri les liens qui devraient être jalonnés d'amour. situation amoureuse Le vide abyssal. A vrai dire, depuis la rupture avec Zola, il n'a plus envie de laisser une chance à ce sentiment inouïe. Il ne veut pas jouer les hypocrites parce qu'au fond, il sent, il sait que personne d'autre n'arrivera à le faire vibrer comme son ex. situation financière  $$$$, il roule sur l'or, il est né avec une cuillère en or dans la bouche et compte bien être enterré avec, quitte à supporter les foudres de son paternel et la rigueur imposée par ce dernier. orientation sexuelle  Il virevolte, il butine d'une fleur à l'autre sans trop afficher de préférences, parce que ce n'est pas d'un corps qu'il s'éprend le plus souvent mais d'une personnalité. Mais finalement, c'est le plus souvent les hommes qui arrivent à le combler. avatar francisco lachowski.

hiding tonight ★ Il pratique la guitare et ce depuis l'âge de seize ans alors qu'il a trouvé un vieil instrument acoustique dans le grenier de la ville familial. Il a apprit seul. Impossible de demander à son père de lui payer des cours il aurait insulté son fils de saltimbanque et l'aurait forcé à jeter l'objet. Il se débrouille bien. Il se sent bien quand il joue à vrai dire. Une passion qui le couvre de bonheur mais qu'il ne pourra sans doutes jamais vivre librement. ★ Plutôt assisté en ce qui concerne les tâches ménagères, il est incapable de faire cuire des pâtes, mettre une machine à laver en marche simplement parce qu'il n'a jamais essayé. Il a toujours bénéficié d'une aide extérieure pour le faire à sa place. ★ Il fume. Un vrai problème puisqu'il finira par en crever de cette addiction. Pourtant, il continue, il y retourne à en avoir les doigts jaunes et les fringues qui sentent le tabac froid. ★ A l'âge de huit ans, il saute du premier étage en prétendant qu'il sait voler. Un paris stupide passé avec son frère. Par chance, il se réceptionne dans la piscine et il ne lui arrive aucune bricole. ★ A dix huit ans, Malo s’éclipse sur un coup de tête. L'excuse de la famille, d'une ambiance trop pesante, d'un besoin de changer d'air. La vérité, il veut fuir. Fuir une histoire qu'il croit à ce moment de sa vie condamné d'avance. Fuir sa propre faiblesse qui le pousserait à prendre son ancien petit ami dans ses bras et replonger dans les abysses du mensonge. Il rejoint sa grand mère, Francesca, veuve depuis peu et fait la connaissance de Flora, dont les parents sont décédés et qui vit elle aussi chez la mama. ★ C'est d'ailleurs sa cousine, Flora qui l'a poussé à venir s'installer à Vancouver quelques semaines plus tôt. Pour fuir le type avec qui elle allait se marier. Il n'a pas tout comprit mais devant la folie furieuse de celle qui est devenue en deux ans indispensable à sa vie. Il l'a suivit. Il a lâché sa belle université italienne pour entrer dans celle de Vancouver. ★ C'est un fanatique de la serie the walking dead. C'est d'ailleurs le seul programme télé devant lequel il ne s'emmerde pas. ★ Il a frôlé la mort l'année dernière, une histoire puérile, une dose l'alcool trop élevée. Son impulsivité qui lui a encore joué des tours et la voiture qui le renverse sans se retourner, ni même appeler une ambulance. D'après les médecins, il a une chance folle de s'en être sorti sans aucune séquelles en dehors d'une cicatrice au creux de l'abdomen. ★ Il possède un chat noir qu'il aime plus que tout au monde. Il se montre très câlin avec l'animal. Il l'a appelé Zola... Ouais ouais... Ridicule, pathétique, déprimant, utilisez le mot que vous voulez. ★ Il est sportif, il s'astreint à plusieurs séances hebdomadaires pour garder la forme et son physique avantageux. Et puis, ça lui fait un bien fou, ça vide son esprit embué. ★ Il ment à la perfection, il sait comment duper son monde parce qu'avec les années, il a apprit que toutes les vérités n'était pas bonnes à dire.

pseudo jo. prénom johanna. âge 26ans. ton smiley préféré   . la pizza, c'est bon ? miam, surtout celle avec plein de fromage. la couleur de tes chaussettes noire et blanche, ouais, j'en ai toujours deux différentes.  ta chanson préférée damien rice, canonball. scénario ? tout à fait Thierry, je suis le scénario magique du merveilleux Zola. un big up, un dernier mot ? c'est la danse des canard, qui en sortant de la mare, lalalalala

Code:

<m>francisco lachowski</m>, milo di marco

Zola sursaute alors que la porte d'entrée claque. « c'est rien, c'est juste mon frère. » dit le jeune Di Marco, la voix suave et rassurante. Il n'en peut plus de ces excès de peur. De cette façon qu'a le jeune Hemingway de ne jamais être vraiment avec lui. Simplement parce qu'il ne se laisse pas aller. A l'affut du moindre bruit. Zola recule un peu plus et se met debout. « et s'il avait un truc à te demander. » sérieusement ? Malo s'en fout. Il n'en a rien à faire que son frère les surprenne. « il frapperait. » lance t-il, sec et agacé. Il récupère son tee shirt sur le sol et l'enfile. Trop. S'en est trop. Il ne peut pas. Il ne peut plus. La porte claque à nouveau presque aussitôt laissant les deux jeunes hommes à nouveau seuls dans la maison. « je peux plus Zola. » Il baisse la tête, stoïque comme de la pierre. Il ne montre pas ce qu'il ressent. Jamais. Parce que les sentiments sont une faiblesse qui empêchent d'avancer, c'est ce que son père lui a toujours dit. Il ne voulait pas en arriver là. Il ne voulait pas rompre. Il aurait pu sauter d'un pont pour son cadet si seulement ce dernier l'avait laissé faire. « j'en ai marre, de toi... de nous. » son cœur est prêt à exploser dans sa poitrine. La douleur est terrible. Le ton monte du côté de l'italien: « je veux plus être ton petit secret d'accord. C'est terminé. » il relève les yeux pour voir son petit ami en larmes. Il devait le savoir non ? Que ça lui pendait au nez, que Malo finirait par ce lasser de ce petit jeu. Il veut plus. Son bras s'aggripe à celui de son petit ami dans une ultime tentative pour le faire rester. « t'es en colère, tu penses pas sérieusement ce que tu dis. On peut en parler calmement non ? » lâche finalement son amant, ponctué de bafouillages, ente deux sanglots. Il retire son bras avec véhémence. Sa décision est prise. Pas si hâtive que ça. Il y pense depuis des jours, il n'a juste pas eut le courage de se séparer de lui jusqu'à maintenant. L'autre tombe au sol, abasourdi, les yeux rougies par les gouttes qui s'en échappent. « dégage Zola. » Le ton est froid, sec tandis que l'homme à terre continue de répondre par la négative en hochant la tête sur le côté. Il déglutit. Il n'a qu'une envie, revenir en arrière, le prendre dans ses bras et oublier cette histoire de rupture mais il sait que le point de non retour est atteint. Il ne peut plus faire marche arrière. Cette relation, il y tient comme à la prunelle de ses yeux et pourtant elle le fait tant souffrir. Il a mal. Son corps entier souffre et il est temps de mettre un terme à cette supercherie avant qu'il ne soit plus capable de se relever. Il serre le bras de son ancien amant et le traine jusqu'à la porte d'entrée qu'il ouvre à la volée. « Dégage je t'ai dit. J'veux plus t'voir. De toute façon, t'étais qu'un jouet. J'me suis bien amusé, mais là, tu commences à me faire chier. Ciao. » Il n'en donne pas l'impression sur l'instant, avec son air sévère et sa froideur implacable mais c'est la chose la plus difficile qui lui ai été donné de faire. Il ferme la porte à ses mots, clôturant le débat. Il vient ensuite s'appuyer contre cette dernière et s'assoir contre le carrelage froid de l'entrée. Une main qu'il porte à son visage: une larme. Parce que ces sentiments pour un autre n'ont jamais été aussi sincères. Ce n'était pas un jeu comme il le prônait quelques secondes plus tôt.En fait, il l'aime même si il ne le lui a jamais dit.


Il fait le fier. Il sourit sans arrêt. Il prétend être heureux. Se cache derrière des faux semblants mais il se sent souvent très seul. Le manque. Cet amour qui n'existe plus et qui l'aidait à se sentir vivant et donner un sens à son existence. Il était parti, il avait quitté la ville. Complètement incapable d'affronter la torture de croiser son ancien amant dans les couloirs tous les jours au lycée et ne pas pouvoir le serrer contre lui. Un peu plus de deux ans déjà. Flora lui saute dessus, agrippant ces deux gambettes autour de sa taille. « Faudrait arrêter les frites. » taquine t-il, provocant et amusé. Elle lui tire la langue comme une gamine et descend de son perchoir pour lui mettre un coup au niveau de l'épaule. Elle a de la force la petite. Il se frotte à l'endroit où l'impact à eu lieu pour tarir la douleur. « Gné, tes valises sont prête Don juan ? » Il pointe un sac du doigt sur le côté. Il a terminé ses bagages la veille. Ça lui fait un petit quelque chose de partir de Florence. Quitter sa grand mère. Les amis qu'il a pu se trouver ici au biais de soirées improvisés. Il se convint qu'un nouveau départ l'attend, que suivre sa cousine n'a rien d'une connerie prise sur un coup de tête. Vancouver. C'est clair que ça va les changer. « Tu vas pas le regretter ? »  Après tout, il est encore temps de changer d'avis. Flora devrait normalement se marier dans six semaines et elle plante le bienheureux sans un mot. Une petite lettre qu'elle déposera dans la boite aux lettres du fiancé. « Non, j'ai toujours voulu voir un caribou. » Il rit de bon coeur avec le membre de la famille dont il est finalement le plus proche. Les relations avec son frère sont bonnes, il lui envoie souvent des nouvelles. Sauf qu'ils ne se sont plus croisés depuis maintenant un an alors ce n'est pas pareil. Il va récupérer son sac sur le sol, il embrasse sa grand mère après l'avoir remercier pour ses bons et loyaux services. Une femme en or. Une femme qu'il a apprit à aimer malgré le fait qu'elle soit dure et rigoureuse. « Vancouver, nous voilà. » lâche t-il en prenant la main de sa cousine dans la sienne. Ils ont toujours été tactiles l'un envers l'autre, pas comme le ferait un couple même si beaucoup ont cru qu'il en était un. Cette nouvelle vie s'offre à eux et ils compte bien en profiter.