Invité | Sujet: Is he nuts? No he's insane. +Mattia Mer 21 Oct - 12:16 |
| - Mattia Hopkins - Pain, without love Pain, can't get enough Pain, I like it rough 'Cause I'd rather feel pain than nothing at all @three days grace - Pain, Tumblr nom complet Mattia, le prénom italien comme ses frères et sœurs. Il ne sait même pas d'où vient cette tradition étrange. Un prénom italien collé à un nom anglais. Hopkins qui sonne dans les esprits, symbole de la grandeur d'une famille qu'on pense insubmersible. âge 20 ans. Le joli chiffre, tout rond qu'on pense presque qu'il sort de l'enfance. Ne vous y trompez pas, l'enfance est partie depuis longtemps déjà. origines Il est de partout, la terre entière est sa maison. Son père est américain, sa mère canadienne et italienne. Europe et Amériques se mélangent dans la meute Hopkins. job Il est de ces étudiants qui n'ont pas besoin de travailler. Le boulot avantageux de papa permet de n'avoir pas de loyer à payer et des frais de scolarité donnés en cash. La médecine est sa spécialité. situation familiale Une sœur jumelle qu'il ne connait pas encore assez, attaché comme un trésor hors de portée. Une grande sœur qu'il idolâtre et qui avait l'habitude de venir voler ses joints dans sa chambre il n'y a pas si longtemps. Un grand frère qu'il ne croise plus que très rarement mais qu'il adorait dans un passé proche. situation amoureuse Inconstant. Il vole à droite et à gauche sans jamais s'attacher à quiconque. L'amour lui est inconnu. situation financière $$$$ On ne s'en cache pas, on a de l'argent dans la famille Hopkins. orientation sexuelle Hétérosexuelle. N'a jamais tenté autre chose. avatar Douglas Booth. hiding tonight #1 Mattia n'est jamais seul. Il a toujours l'impression de porter avec lui uniquement la moitié de son coeur. L'autre, il l'a donné à sa naissance à celle qui partage son ADN. Sa soeur jumelle. La même bouffée d'air, au même moment. Les mêmes pas hésitants, au même moment. Les mêmes mots hasardeux. Ils n'ont jamais été proches, les jumeaux Hopkins. Parfois, Mattia la regarde en se demandant si ça existe vraiment, le lien gémellaire. Si c'est pas que des conneries qu'on raconte pour faire croire qu'ils ont un truc de spécial. Et puis il y a cette étincelle, ce moment qui lui fait dire que oui. Cette façon qu'elle a de le sonder immédiatement et de lui balancer ses vérités à la figures alors même qu'il à a peine cligné des yeux. Ca l'énerve. Mais ça le rassure. Mais malgré tout ça, sa jumelle, il ne la connaît pas vraiment. Elle ne lui a jamais vraiment donné l'occasion non plus. Alors il la regarde de loin, sachant pertinemment qu'il sera toujours dans les parages pour elle. Il paraît que c'est ça aussi les liens du sang.
#2 Mattia c'est un animal sauvage que personne n'a encore réussi à apprivoiser. Il fait mine d'approcher pour aussitôt filer. Quand on a l'impression de le connaître, il file entre les doigts, du sable fin qui s'envole avec la première bourrasque venu. L'insaisissable se fond dans la masse en sachant parfaitement l'esquiver. L'enfant indompté croise les prétendues reines de l'amour mais jamais ne s'attarde. Ce monde ne l'affecte pas. Il regarde tout ça de loin, libéré de toutes les chaînes. Il se rit de l'infortune des damnés qui s'y sont risqués. Inconscients. Vous n'en sortirez pas vivants semble dire son regard. Carnassier, son sourire se fige sur son masque finement forgé. On dirait presque que ça le touche, mais il n'en est rien. Il frôle, effleure, énerve, excite et s'en va comme il est arrivé. Plume sur la peau, sensation aussitôt effacée. Il vient, il part. Et il s'en fout.
#3 Mattia crève d'envie qu'on lui hurle qu'il a de l'importance. Qu'on a besoin de lui. Il s'essouffle à penser qu'il est inutile, qu'il n'est rien, que la seule chose de bien chez lui est son fric. Toujours ce foutu fric. Gangrène. Il a envie parfois d'amputer ce membre pourri et de tout recommencer à zéro sans jamais en avoir le courage. Alors il se vautre dans la richesse, en use et en abuse. Il fait trois fois le tour du monde en deux mois et revient à son point de départ en balançant des billets à travers la pièce. Il se fout de l'argent, il veut juste exister, désespérément, et tous les moyens sont bons. Né dans une famille qui veut sauver les apparences, il a envie de tout faire voler en éclat. Il veut voir leurs têtes quand ils s'apercevront qu'il était là, tout ce temps, sous leurs yeux. Qu'ils n'ont rien vu venir. Le petit de la famille qui fait tomber le pot de fleur et fissure toute la jolie façade soigneusement érigé. Même pas peur. Même pas honte. Regardez-moi, qu'il crie. Alors il aligne les conneries, sans même sourciller. Un tank qui balaie absolument tout sans se départir de son calme, avec un peu de chance il vous gratifiera même d'un sourire le gentleman. Parce que ne l'oublions pas, ce n'est pas un roturier de bas-étage, alors autant faire ça avec classe. Il se rit d'eux, se rit de lui et fonce droit dans le mur. Mattia, il crève d'envie de vivre.
#4 Mattia se drogue à la souffrance. Il a essayé l'herbe, les cigarettes et les concentrés chimiques qui font planer, il y est même resté pendant un certain temps, mais maintenant ça ne fonctionne plus. Plus aussi bien qu'avant en tout cas. Il se surprend à dénigrer les malboro, à cracher sur les joints. Il en planque toujours dans sa chambre, c'est évident, mais maintenant il a moins de cachettes qu'avant. Non, maintenant ce qui le fait planer, c'est le chagrin, la peine et la tristesse. Chez les autres. Quand ils ont mal, ils sont vulnérables et alors il peut s'approcher. Il peut toucher leur âme du bout des doigts et regarder ce qui se passe dans le cerveau humain. Dans le sien, il connaît déjà tout. Ce sont des rouages bien huilés qui tournent à l'envers. Pas une seule larme chez le gamin au cœur de pierre. Depuis tout petit déjà il vous regardait de ses grands yeux qui promettaient, silencieusement, que pas une seule larme ne coulerait. A croire que son canal lacrymal s'est tari à partir de 5 ans. Une égratignure au genou le laissait de marbre et les hurlements de ses parents, stoïque. Il prend tout, sans rien dire. Loin de s'en moquer, il s'en délecte et il veut savoir : pourquoi lui? pourquoi pas les autres? Alors il étudie, il observe. Après tout, quoi de plus normal pour un futur médecin? La souffrance, c'est ce pourquoi les gens viennent consulter en premier lieu non? A croire qu'il n'a pas choisi sa voie mais que c'est elle qui l'a enfanté.
#5 Mattia sourit, sans se fêler. Pas une seule fois il ne tombe le funambule. En équilibre sur le fil, il sauve les apparences, apparaît bien dans la haute société. Fils prodige qu'on congratule à grands coups de tapes sur l'épaule. Tu iras loin, garçon. Non. J'irais très loin. Vois-tu, l'argent n'apporte pas le bonheur mais il amène tout le reste. Une carte en or dans la poche et le monde s'ouvre à toi. La déchéance t'ouvre les bras. Ils filent, les billets verts. Si vite. On les voit à peine passer de mains et ça s'échange des diamants qui brillent quinze fois plus et font mal aux yeux. Il joue, sur-joue, l'enfant capricieux. Vole le compte en banque du père impuissant et réduit le capital à dix chiffres. Qui le remarquera ? Pas lui en tout cas. Et il en rit, de la puissance des riches. Il en est un, ça lui plaît.
#6 Enfant, Mattia a rêvé. De grands espaces, surtout. D'aller voir ailleurs. Il a placardé sur le plafond de sa chambre des centaines de photos de tout ce qu'il veut voir un jour. Il les as toutes vues, sans exception, jusqu'à la dernière, lorsqu'il a eu 18 ans. Parti voir le monde, qu'on chuchotait. En vérité, il partait assouvir sa soif de savoir et claquer le fric de papa et maman Hopkins. Il voulait juste se casser en faisant croire qu'il faisait quelque chose d'intéressant de sa vie, juste pour montrer qu'il existe. En réalité, il est revenu un peu plus brisé encore de ce voyage sans but. Il avait accompli son rêve de gosse, et maintenant quoi ? Il ne sait plus, se complait dans l'errance.
#7 L'enfant rebelle ne tombe pas amoureux. Il tombe tout court. De son piédestal, de son trône en or massif. L'amour, il ne connaît pas, tant mieux. C'est comme le monde, il tourne sans lui et il s'en fout. Les courbes féminines, il ne les connaît que trop bien mais ne les frôlent que d'une main. Le lendemain, il est déjà parti. Ou dans la nuit-même, qu'importe. Quand elles se réveillent, la place est déjà froide, le souvenir sent la vieille fumée de cigarette et le reste s'est évaporé. Ne reste qu'une gueule de bois et le cynisme du garçon de riche qui ira se vanter auprès de sa clique d'endimanchés. L'inconstant ne se souvient même plus de ce qui a pu l'amener là, mais il se sauve sans chercher à se rappeler. Son sourire lui apporte des faveurs de dames, des amis concupiscents. Il se fiche des regards tant qu'il a ce qu'il veut. Tant qu'il est là pour tout voir.
#8 Mattia, il est amoureux de la vie. Quand elle accélère à cent à l'heure et qu'elle le laisse pantelant sur le macadam surchauffé à la gomme des pneus qui refusent de freiner. Il aime tout se prendre dans la tête, perdre du sang et de la sueur. Ses poings parlent pour lui, parfois. Les voix s'écrasent sur ses phalanges. Pour le reste, il se contente de fermer les yeux et de laisser venir toute la violence de la race humaine. Qu'elle est cruelle, cette race humaine. Qu'elle est source de souffrance. Il adore ça. N'en perd pas une miette. Jouis du spectacle et va se coucher pour mieux en profiter le jour suivant. Tous ces sentiments contradictoires, ce cocktail molotov, il l'embrasse à pleine bouche pour mieux en savourer la saveur. Il prend tout, ressent tout avec une force qui tend presque à la bipolarité et recrache tout à la gueule de ceux qui veulent lui faire entendre raison. Laisse-moi, j'essaie de ressentir quelque chose là. Laisse-moi.
#9 L'inconstant pointe du doigt les imperfections, n'a pas peur de dire ce qui ne va pas. Sa langue se délie avec une facilité déconcertante et son humour parfois noir ou cynique déride toutes les assemblées. On ne peut pas lui en vouloir même si on envie de l'étriper. Il se rit de tout, le Hopkins gosse de riche. Il n'a peur de rien. Même pas de lui. Mais parfois en se regardant dans le miroir, il n'a pas envie de se voir. Portrait maléfique du gosse qui a tout brûlé sur son passage. Satan en costume classieux et chaussures qui brillent. Il cache bien son jeu le morveux.
#10 Mattia se cherche sans jamais rien trouver. Il effleure sans jamais rien toucher. Existe sans jamais le hurler. Peut-être que c'est ça, finalement, le portrait d'un tueur d'âme. Celui qui vous hurle à l'extérieur de laisser les démons intérieurs gagner. Peut-être est cela, son humanité. Regarder souffrir pour mieux venir en aide, qu'on le supplie d'être là. Il en a besoin, il adore ça. Son bon fond cache un mauvais fond, dix fois plus sombres. Il sait déjà qui de l'ange ou du démon a gagné, ses ailes sont déjà tombées.
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pseudo Absiinte, au dernier recensement. prénom Cloé, sans h c'est mieux. âge La vingtaine et trois poussières. ton smiley préféréje serais tenté de dire mais récemment je suis tombée sur et je peux plus m'en passer. la pizza, c'est bon ? Yup la couleur de tes chaussettes Black&white. ta chanson préférée En ce moment, Fire meet Gasoline - Sia. scénario ?Nope. un big up, un dernier mot ? Eve, Kim, Momo, big up. Si j'suis là c'est à cause grâce à vous bande de viles tentatrices. - Code:
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<m>douglas booth</m>, mattia hopkins |
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Invité | Sujet: Re: Is he nuts? No he's insane. +Mattia Mer 21 Oct - 12:21 |
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Invité | Sujet: Re: Is he nuts? No he's insane. +Mattia Mer 21 Oct - 12:24 |
| Poor little thing, let me hug you j'aime les fragiles. Merci beaucoup Gin, t'es bonne Merci de ton accueil Hopkins > reste du monde. Mais j'veux bien l'écrasement à coup de boobs quand même T'es belle en Ashley, je t'aime d'amour pour le reste de ma vie, vuala |
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Invité | Sujet: Re: Is he nuts? No he's insane. +Mattia Mer 21 Oct - 13:17 |
| Mais... mais... Trop d'amour. Merci à tous, je vous dédie ce gif trop cute pour vous tromper parce qu'en vrai il est pas cool l'autre steak là :cute: Merci de vos compliments, merci de votre accueil, vous réchauffez mon petit coeur |
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Invité | Sujet: Re: Is he nuts? No he's insane. +Mattia Mer 21 Oct - 13:32 |
| J'AVAIS PAS VU. genre je ne sais pas si c'est booth ou le pseudo mais t'es beau ok. (ou belle. ça me stresse ces histoires. 'fin dans les deux cas, t'es bon/bonne/baobab. ) j'ai hâte de lire ta fiche et tout, et tout bref je t'aime. et bienvenue, et dépêche-toi avec cette fiche pour qu'on puisse rp. |
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Noor Gallagher MESSAGES : 744 DATE DE NAISSANCE : 25/05/1999 NAME : BALACLAVA (CHLOE) CRÉDITS : @MONEY HONEY JOB : PRINCESS COEUR : GOLDIE mad sounds in your ears | Sujet: Re: Is he nuts? No he's insane. +Mattia Mer 21 Oct - 14:22 |
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Invité | Sujet: Re: Is he nuts? No he's insane. +Mattia Mer 21 Oct - 14:32 |
| Eve, fais pas style Ton aura de VIP t'as fait avouer que tu nous aimais plus Mais tu restes mon Morriobab pref alors je te pardonne :face: Toujours aussi bonnasse en Holland, j'te réserve un rp quand ma fiche est terminée. ILOVEYOU +1 Mona, il fait péter un plomb mais il est canon alors on lui pardonne Merci de ton accueil ON INSULTE PAS UNE HOPKINS NOMDENOM Les Hopkins sont tous perf. Voilà. (mais vu que tu es belle, je te pardonne ) Si j'ai besoin, je crie. Merci à toi |
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